Une balade à poney

Vendredi soir pluvieux
Samedi matin bruineux
Nous en avons profité pour aller au marché d’Hossegor … qui n’est en fait pas le samedi. Nous avons donc été contraints et forcés de faire un tour à la braderie d’été (ben quoi).
Un déjeuner sur la terrasse et sous une petite bruine (c’est bon pour la peau, moins pour les brochettes), un moment tranquille avec les filles et puis … tout le monde commence à tourner en rond dans l’appartement.
Trouver une idée, vite, qui fasse plaisir à tour le monde tant qu’à faire.
Banco pour le « ranch » qui est à 2 minutes.
Ça tombe bien les poneys nous attendaient : Daisy et Chipie.
Ma grande veut Daisy (cf. Chicago Vampiro), Chipie correspond bien à ma deuz.
Dommage, Chipie c’est le grand et Daisy le petit. Ballot.
Pas grave. Le scandale est évité et ma grande a bien compris qu’elle aurait les pieds qui traîneraient par terre sur le petit.
On est parti pour 2 tours dans la forêt de pins.
Quelques mètres plus loin, la selle de ma grande commence à tourner, on la resserre.
Histoire de se marrer un peu, on trottine à côté du poney. Ça se marre les 5 premiers mètres, après ça rigole moins.
OK on continue en marchant.
Et histoire de corser l’affaire, lâcher la corde et trottiner. Chipie, qui porte bien son nom, commence à s’emballer un peu, courir après pour la rattraper ? Mauvaise idée. Ma grande est en panique.
Chipie est rattrapée. Petite frayeur, je prends la main.
Ma grande me fait promettre de ne pas lâcher.
Même histoire avec ma deuz, qui se vautre lamentablement.
Forcément, ça nous fait marrer (la chute était lente et nous avons bien vu qu’elle n’avait rien) elle beaucoup moins.
Elle est remontée sur le dos de sa monture, crade mais morte de rire (après avoir réalisé qu’elle n’avait rien).

Nous avons finalement fait 3 tours pour le plus grand bonheur des filles, qui ont joué aux poneys tout le reste de l’après midi.
Je trouvais ça cher mais finalement c’est un investissement durable (à condition de le faire en début d’après midi).

Bref, notre promenade à poney elles s’en souviendront.